Récits Tissés

Tal Waldman chez Qurt – Lancement meuble design et créations textile 
Galerie Qurt
19 septembre au 30 Novembre
Vernissage : 19 septembre, 18h30–21h
Adresse : Galerie Qurt, Village Suisse nÅã100, 12 avenue de Champaubert, 75015 Paris,
Métro : La Motte-Picquet Grenelle (lignes 6, 8, 10)

Ce projet marque le lancement du mobilier textile Qurt – Récits Tissés – de Tal Waldman, une pi.ce fonctionnelle et po.tique, peinte à la main, conçue à partir du module Qurt Storage. Trois oeuvres murales en laine l’accompagnent ainsi que des dessins brodées. La pratique hybride de Tal Waldman mêle différents médiums — dont ici le textile — dans une approche de design introspectif et narratif. Elle interroge le textile comme vecteur de mémoire, d’identité. et d’appartenance, revisitant la notion de  » chez-soi » à travers un langage fait de gestes, de matière et de symboles.

Récits Tissés (2025), Cette oeuvre Réinterprète le module Qurt Storage en laine peinte à la main. Elle incarne une synthèse poétique de la série Récits Tissés, qui explore le textile comme langage mémoriel et espace d’appartenance. Conçue dans une démarche nomade, nourrie par des voyages à travers plusieurs continents, la pièce croise art, design et écologie pour poser un regard méditatif sur l’habitat contemporain. Ici, le textile devient un médium sensible où fonction et poésie dialoguent.

Fibres d’ancrage (2025),  Ces trois tapisseries en laine peinte à la main franchissent la frontière entre tissage et peinture, entre fonction et symbole. Dans l’une, des cheveux féminins mêlés à la laine tissent un lien intime avec l’histoire ancestrale ; dans l’autre, des tiges de
bois forment une structure tridimensionnelle, incarnant l’ancrage et la tension. Le geste du tissage — répétitif et méditatif — incarne le temps, la patience, et l’entrelacement des récits. En détournant le textile de sa fonction utilitaire, Waldman interroge la limite entre objet domestique et œuvre d’art. Ces tapisseries deviennent des espaces de passage, évoquant à la fois l’enracinement, le déracinement et la renaissance.

Chemins Brodés (2023–2024) Alliant dessin et broderie sur papier, cette série retrace les parcours migratoires récents vers l’Europe. La broderie perforante introduit une tension dans la fragilité du papier, créant une surface à la fois sculpturale et émotionnelle. Cette démarche explore le textile comme un espace de mémoire et de transformation. Le dialogue entre mouvement et immobilité, contrôle et rupture, reflète la complexité des expériences migratoires et la redéfinition du « chez-soi ».

 

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Mountains, Temples, Traces

TAL WALDMAN – Exposition personnelle
Galerie Cécile Dufay
12 au 27 septembre 2025
Vernissage : 12 septembre, 18h–21h
Adresse : Village Suisse n°27,75015 Paris (face au 6 avenue de Champaubert)Métro : La Motte-Picquet Grenelle (lignes 6, 8, 10)

À la galerie Cécile Dufay, Tal Waldman pr.sente une oeuvre d’art sacré. contemporain et expérimental, une quête corps-esprit, une expérience spirituelle rendue visible par la forme. Son travail explore le souffle et les gestes comme sources de création. Chaque trac. devient un acte méditatif, une cartographie intérieure du souffle, révélant la mémoire du mouvement, des migrations et du rituel.

Deux séries s’articulent dans cette exposition :

Traces (2024-5), Réalisée à l’encre et à l’acrylique sur papier dans des nuances de rouge, incarne une exploration du souffle comme outil de création. Les gestes répétés, inspirés par l’inspiration et l’expiration, forment des rythmes visuels, comme des empreintes chorégraphiques. Ce processus exige une présence consciente et incarnée, où le souffle devient un tissage vivant de rythmes. Il évoque à la fois la mémoire des mouvements migratoires et fait écho aux gestes du textile, enracinés dans les traditions moyen-orientales de l’artiste.

Mont Analogue, (2024-5) Inspirée du roman initiatique de René Daumal, développe une réflexion sur la lumière, l’ombre, et le passage entre visible et invisible. À travers des dessins en noir et blanc rehaussés de feuille d’or et des sculptures chamaniques en papier tissé, l’artiste joue avec la composition et les ombres projetées. Ces oeuvres forment de petits temples, espaces sacrés où se rencontrent matière et immatériel, incarnant une recherche intérieure et la transformation du geste en rituel.

 

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