Que ce qu’est le financement de la foule le « crowd funding »?

Ces sont de sites de médias sociaux qui permettent aux gens de faire de dons de petits montants d’argent qui s’additionnent pour financer des projets de plus grande valeur. Dans notre cas, croyez avec nous dans notre projet et de nos valeurs, et aidez-nous atteindre 3500 € à la fin des 22 prochains jours. C’est tout ou rien, et OUI, nous pouvons réussir avec votre aide!

Pourquoi contribuer?

Les principales motivations pour le don sont

Sympathie: contribuer à des amis et la famille, les amis d’amis, une communauté.

Empathie: aider les autres à atteindre leurs objectifs, contribuer au bien commun et pour le changement social et pour la participation à une histoire en cours.

Identité: soutenir les personnes ayant les mêmes idées et faire partie d’une communauté qui prend en charge les mêmes valeurs, intérêts, idées ou cause.

Bonheur: simplement parce que vous trouvez plaisir en contribuant

Intérêt: Obtenir une récompense ou une part dans le projet

« Révolution sociale »: Faites partie d’une autre façon de financer les productions culturelles qui est en quelque sorte une «révolution sociale» et une alternative aux formes institutionnelles plus traditionnelles de financement de la culture. À mon avis, une manière plus responsable, avec plus de partage, et plus démocratique de vivre.

J’espère que vous pouvez identifier avec l’un de ces groupes, Venez découvrir, partager et contribuer au projet. C’est gratifiant, simple et discret.

Merci!

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Un objet protéiforme d’art, un objet de rangement et un miroir d’anamorphose. L’animal chimérique qui l’habite et le miroir créent une « Identité interrogative ». Celle-ci représente la difficulté à rester soi-même tout en s’adaptant aux contraintes de l’extérieur.

Cette pièce vers la fin de sa réalisation est un nouveau challenge. Je voulais créer un animal chimérique qui puisse à la fois convaincre de son existence par la vérité de ses proportions et par son « réalisme inventé », pas évident.  Le cadre napoléon III de proportion adapté à la tête est restauré, argenté et transformé en miroir d’anamorphose. Le reste de la pièce (le relief, les détails) est construit. Arriver à harmoniser ces 2 images fortes et différentes, en créant un langage visuel cohérent a été un challenge.

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C’est ainsi que s’est faite la rencontre avec Philippe Moreau, le tapissier. Philip, militant de métier, de talent remarquable, déjà renommé a remporté de nombreuses médailles. Grâce à cette pièce, Philippe dit qu’il a pu mettre en pratique des théories techniques apprises au court de sa carrière, et pas des moindres.

La création du masque a été particulièrement ardu… Nous avons travaillé à trois avec Jennyfer la brodeuse. D’abord l’encollage d’un tissu… puis créer le premier masque du

Rinho en toile à carreaux… travailler les positions des tissus en fonction de ma composition…afin de laisser intervenir Jenyffer la brodeuse plus tard…

Pour améliorer le réalisme de cette tête nous avons étudié de nouveau la structure des cornes avec Christine Bruckner, une céramiste extraordinaire en cherchant un meilleur équilibre de poids, d’aspect et de texture… à suivre.

Votre soutien est précieux pour nous aider à terminer la production

 

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Peu après la rencontre avec Romain l’ébéniste restaurateur,  je rencontre Jennyfer Moret. Jennyfer, une jeune brodeuse dans la haute couture, devient rapidement aussi une personne clé. Créatrice elle-même, c’est l’occasion pour elle d’adapter son savoir-faire et son expérience de la Haute Couture à un tout autre domaine.

Jennyfer développe un savoir-faire unique en abordant le concept de la broderie comme un objet tridimensionnel, sculpté sans support. C‘est le cas de l’arbre de l’espoir sur «l’immigrée » ou l’œil dans « l’identité interrogatoire ». Notre collaboration se fait naturellement de façon très ouverte, et pleine d’imagination, parfois à trois avec Romain et plus tard avec Philip.

La création broderie dans notre projet est le résultat d’allers et retours entre la récupération des broderies traditionnelles au Moyen Orient, entre mes concept et compositions et la création de Jennyfer, qui harmonise l’ensemble et ajoute son empreinte. Dans le résultat les morceaux de la broderie palestinienne et juive Israélienne sont harmonisés malgré leurs différences.

Dans notre démarche nous incarnons de façon pratique un grand nombre de réflexions très actuelles. Nous adoptons une méthode coopérative et horizontale de la production et la création. Nous tenons à faire évoluer cet aspect du projet. Nous expérimentons « l’économie circulaire » par une approche qui repose sur le « up cycling ».

Nous rendons vivante ces très grandes réflexions de notre temps !

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The immigrant @work

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Sur Romain, sur l’« immigrée » et sur la recherche de matériaux à Paris

Après avoir trouvé les broderies au Moyen Orient, à Paris je cherche des mobiliers condamnés anciens et récupérées qui représentent mon pays d’adoption. Des pièces de broderie s’allient à du mobilier français et se mélangent dans des objets, des histoires, des souvenirs, des cultures et des compétences artisanales.

A cette période (en 2012) je rencontre Romain Maldague, un ébéniste restaurateur passionné par son travail. Romain devient un collaborateur très important. Il a tout de suite été séduit et touché par le sens de cette initiative et son originalité.

Nous collaborons sur 4 réalisations, plus tard aussi avec Philip et Jennyfer. Je lui présente des esquisses et nous les peaufinons en dialoguant ensemble pour trouver le meilleur compromis entre nos désirs et les contraintes techniques de réalisation, entre restauration et création. Il a pu faire de nouvelles expériences et tenter de nouvelles réalisations par exemple, pour la « Tea break », il a sculpté en corne l’accotoir. Tout ceci a nourri sa créativité. Notre objectif est de trouver l’harmonie entre la création broderie, les éléments récupérés et restaurés et des nouveaux éléments.

Notre deuxième pièce « l’immigrée », évoque l’étape du voyage et l’immigration. Elle inspire la fragilité, l’errance, la mobilité. La fonctionnalité du meuble et le sens de son utilisation sont revisités. La « chaise » est large et repose sur 2 pieds et une canne qui devient un portemanteau. L’équilibre est fragile. Le dossier Napoléon III est récupéré et restauré par Romain l’ébéniste puis intégré dans une structure neuve. La structure conduit l’œil vers la broderie. Elle dialogue avec l’assise en broderie par la forme et le relief. L’équilibre est délicat entre restauration et nouvelle création, entre fonctionnalité et image.

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Bonjour, Je vous remercie infiniment de votre confiance, vos commentaires, et contributions. Laissez-moi vous raconter aujourd’hui comment j’ai trouvé la broderie juive en Israël.

Je me plonge dans la recherche de la broderie juive Israélienne. J’ai voulue l’harmoniser avec la broderie palestinienne, que ensemble représentent mon lieu de naissance. 
Mais, qu’est-ce que la broderie juive en Israël?

Je me souviens enfant, de la broderie russe sur les chemises de la génération de mes parents et de mes grand- parents, mais aussi la broderie des juifs du Yémen.
Chaque immigration juive vers Israël a amené le savoir-faire de son pays d’origine en y intégrant des symboles juifs.
Alors, j’ai décidé de partir à la recherche de la broderie juive que l’on peut trouver en Israël aujourd’hui,
mais où ?
J’ai découvert la broderie juive éthiopienne et marocaine. Après de longues recherches, j’ai trouvé des associations promeuvent la broderie Juive Israélo-Éthiopienne et une brodeuse marocaine. Je suis toujours à la recherche d’une personne pour la broderie juive yéménite..
La barrière de la langue et de la culture sont au cœur de la complexité de ce projet. C’est la bonne volonté de tous les partenaires et une patience démesurée qui rendent possible des pièces magnifiques, comme la Reine de Saba et le dieu juif représenté par un lion.

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The worker. @work

 

recherche détails

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Bonjour,

Beaucoup d’entre vous ont écrit, commenté et contribué à notre projet ces derniers jours. Je tiens à vous remercier de votre soutien et de votre confiance.
Je me suis demandée ce qui pourrait vous intéresser afin de vous impliquer vraiment dans ce projet au dessein collaboratif… Et voilà, j’ai décidé que j’allais vous raconter l’histoire de ce beau projet à travers des anecdotes et le cheminement des idées. Ainsi, vous pourrez vivre avec nous l’ambiance, les hauts et bas, en bref, l’aventure humaine de projet. Le point de départ de ce projet, c’est l’admiration pour le savoir-faire et le respect de l’autre.
Je vais donc commencer par le débu

L’idée de ce projet a commencé à gigoter dans ma tête au retour d’un voyage en Israël à Jérusalem, c’était en 2011.
C’est lors d’une promenade dans la ville ancienne de Jérusalem que ce beau projet est né. Je déambule dans le marché de la ville ancienne, côté musulman. Une conversation avec un marchand de textile et de broderie, Mahmud s’engage. Mahmud tient à me montrer sa collection extraordinaire de robes palestiniennes. Je découvre un trésor ! Certaines robes ont été confectionnées à la main il y a 30/40 ans. Venant de différentes zones géographiques, elles racontent des histoires et incarnent des symboles différents. En découvrant cela, je suis saisie et très émue par la finesse de ce travail. Je me plonge alors dans l’étude de ces symboles, de cette technique unique et de leurs origines.
En rentrant à Paris, je poursuis mes recherches. Je suis portée par l’idée que ce savoir-faire oublié mérite de s’actualiser. Je cherche alors des brodeuses palestiniennes avec qui travailler et des pièces anciennes en Israël et en Palestine sur lesquelles travailler. Je voulais pourvoir les adapter et les inscrire dans des pièces nouvelles. Je choisis d’intégrer ces symboles sur de nouveaux supports par un assemblage subtil qui tienne compte du goût occidental et qui crée un ensemble du cohérent.
À l’aide de connaissances à Paris, je prends contact avec Nadima à Damas. Grâce à elle et un groupe de brodeuses, nous réussissons à fabriquer les premières pièces originales, adaptées.
Ce travail nous a demandé de relever de nombreux challenges : la situation politique sensible à Damas qui s’est beaucoup détériorée depuis, la distance et la difficulté économique, le manque de confiance, nos différences de langue, les différences de culture visuelle … Nous
avons dépassé toutes ces difficultés pour les transformer en richesse et permettre de réaliser ces pièces qui seront harmonisées plus tard avec la broderie Israélienne par une brodeuse à Paris.
Ces pièces représentent mon lieu de naissance, elles symbolisent le lieu de naissance de l’immigré.

Dans 3 jours, je vous raconterai l’histoire de la broderie israélienne juive.

Restez avec nous!

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NEW-HEADER La collecte sur KKBB

MÉMOIRES BRODÉES, né il y a 24 mois,  est une démarche de création artistique engagée, une production artisanale et une exposition au cœur du développement durable!
Qu’en est-il ? Il s’agit d’un projet Art qui parle de la mémoire collective et de la migration, de l’identité, du partage, de la diversité culturelle. Comme un projet interdisciplinaire, il utilise des outils de l’art, l’art décoratif et design comme langages de conception.
Comment ? Cette aventure audacieuse s’est construite autour d’une nouvelle modèle expérimental de production coopérative et circulaire, entre une artiste, designer et architecte (Tal Waldman–Talva Design), un groupe de fabuleux artisans parisiens et un photographe. Cela signifie qu’il est tout à travailler différemment, en partageant : la création, les souvenirs, les connaissances et l’expertise. Par cela nous rejoindre et pratiquons grandes idées de notre temps, tels que l’économie circulaire, la production collaborative et de la durabilité.
La production est basée sur la récupération des objets, Les broderies et les matériaux recyclés sont une allégorie, notre base et un choix moral, comme nous ajoutons nos traces et nous créons sur une mémoire existante. Suite à une histoire personnelle, le projet est engagé dans un processus fluide de trouver des broderies de Palestine et d’Israël représentant le lieu de naissance, suivie de trouver des meubles de la France qui représente la terre adoptive. Plus tard recyclés, retravaillés et créé de nouveaux objets dans un groupe à Paris.
Résultats ?
Les œuvresbientôt complétés, seront présentés à travers une famille d’objets interprète des différents états d’une vie d’immigrant (les voyages, les souvenirs, les difficultés économiques, le maintien de l’intégrité tout en s’adaptant, dissemblances entre la patrie et la terre adoptive). Également une série de photos qui élargissent la dimension humaine du projet en aidant à comprendre le processus.
ExpositionLe projet sera exposé dans une exposition itinérante. Deux musées, « La Piscine », un musée d’Art et d’Industrie de Roubaix et le Musée du meuble de Hazebrouck se sont engagés à accueillir notre exposition. D’autres musées en France et à l’étranger ont exprimé leur intérêt pour une exposition entre 2014 et 2016.

  • Soyez acteur de notre création

Si vous croyez en une création artistique engagée, la diversité culturelle, interdisciplinaire et la durabilité alors s’il vous plaît soutenez notre projet !
Vous pouvez plonger dans le projet ici-bas et partager avec vos amis ;
Vous pouvez découvrir l’atmosphère et les derniers développements en cliquant sur Actualité dessus
Vous pouvez contribuer en cliquant sur le côté droit, c’est simple et gratifiant

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EXTRAIT DES  PHOTOS DE L’EQUIPE PAR THOMAS BREMOND / TRAVAIL EN COURS

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Romain

 

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L’équipe, basée à Paris, est composée d’artistes et d’artisans:
·   Tal, la créatrice et le chef d’orchestre du projet,
·   Jennyfer, la brodeuse haute couture,
·   Romain, l’ébéniste et restaurateur,
·   Philip, le tapissier (entre autres talents),
·   Hubert , l’ébéniste,
·   Pascal, l’ébéniste,
·   Christine, la céramiste,
·   Alain, le tapissier,
·   Thomas, le photographe
Quatre étapes se sont chevauchées durant ces 20 derniers mois :
·   la Recherche et la récuperation des matériaux,
·   le Design et la Conception artistique,
·   la Composition de l’équipe et la Conception technique jusqu’à la Production des œuvres,
·   la Promotion, la recherche de fonds et le projet d’Exposition itinérante.

Le financement de l’exposition itinérante ne fait pas partie du projet de collecte en cours. Seules la recherche et la production des derniers objets sont soumises à votre contribution.

Pourquoi ce projet ?
1. Il contribue à l’économie circulaire, à l’up-cycling, au re-design et à l’écoconception
Le projet par son aspect écologique mais aussi par le processus coopératif de la production (responsable et local) rejoint et soutient une politique de promotion de la production et la consommation durables. Le projet favorise la valorisation finale d’un objet après l’avoir restauré ou/et re-designé.
Le projet soutient la démarche d’écoconception qui consiste à intégrer l’environnement lors de la conception des produits, avec une vision sur l’ensemble de leur cycle de vie.
2. Au-delà de mon histoire autobiographique, la migration est un phénomène qui touche la mémoire collective et l’ensemble de la population mondiale. L’immigration,  la diversité, le respect envers l’autre.
Le projet promeut un modèle de société constituée de la diversité culturelle et du respect mutuel. Ceci se traduit, tout d’abord, par les thèmes de l’immigration, de l’identité, de la mémoire, de l’harmonisation des différences. Ensuite, par la création d’une famille d’objets hybrides résultant d’un mélange de matériels multiculturels qui interrogent l’individualisation et la coexistence.
Le projet fait appel aux différentes mémoires collectives par le choix de la récupération des matériaux, et par l’intervention humaine et manuelle sur les traditions. Des pièces de broderie traditionnelle du Moyen-Orient (Palestine et Israël), et du mobilier français de récupération se mélangent dans des objets, des histoires, des souvenirs, des cultures et des compétences artisanales. L’intervention dans ces morceaux traditionnels exige un équilibre délicat entre la conservation et l’innovation de ces lègues.
L’éclectisme des styles, des symboles, des cultures, des origines et des fonctions conduit à la recherche d’un nouveau langage visuel capable de traduire et de fusionner les différences dans un environnement de respect et d’hybridation culturelle et technique. La fonction et la signification de l’objet sont revisitées. L’objet, avec sa multiplicité d’identités devient nouveau. Son originalité visuelle et fonctionnelle lui fait prendre une nouvelle autonomie, une nouvelle vie.
3. Le projet propose un nouveau modèle de production et une synergie entre art, design et artisanat
À plusieurs reprises dans l’histoire de l’art, nous trouvons des courants de pensée qui brouillent la distinction entre les arts décoratifs, l’art et le design. Aujourd’hui, les frontières sont encore peu claires. Nous examinons les frontières entre les domaines, le rôle de l’artiste et de l’artisan.
Ce projet induit un processus de conception et de production qui mêle les métiers d’art entre eux ainsi que l’artisanat ; Il crée ainsi une synergie entre des savoir-faire, avec des conséquences économiques et artistiques. Il permet un échange entre les disciplines, car l’étude technique est faite en équipe. Une plate-forme et une méthode d’expérimentation et d’innovation sont établies.
4. La mondialisation et la tradition
Dans le contexte actuel de la mondialisation, il est essentiel de renforcer les compétences traditionnelles tout en respectant leurs spécificités géographiques. Nous tenons à proposer un modèle de production qui respecte les méthodes traditionnelles de travail et l’environnement, d’où le choix des matériaux et des techniques basé sur la récupération et le travail artisanal. C’est aussi dans cet esprit que le dialogue s’établit entre les membres de l’équipe.
4. Les petites créatures hybrides avec leur histoire, leurs matériaux, issues d’un processus et d’une réflexion collaboratifs, m’habitent depuis longtemps. Je ne pouvais plus les ignorer.
– « L’immigré », les voyages et l’immigration ;
 « Tea break », s’arrêter et se souvenir ;
 « La travailleuse », les difficultés économiques ;
– « Identité interrogative », la difficulté de maintenir l’intégrité tout en s’adaptant ;
 « Entre deux terres », les dissimilitudes entre la terre natale et la terre d’adoption.

CROQUIS DE LA FAMILLE

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J’aimerai remercier mes courageux collaborateurs : Romain Maldague, Jehhyfer Moret, Philip Moreau, Hubert Kérleo, Alain N,Pascal Frisa, Christine Bruckner et Thomas Bremond.

Un grand merci aussi à mes amis qui ne cessent de me soutenir : Charlotte Studievic Benoist, Charlotte Micklewright, Cécile Tevet, Lawrence Walmsley, Dani Leibovits, Ana Sinde, Marie-Jeanne Morin, Crystèle Blin Locks, Aurélie Vincent, Nicole Savy, Miriam Gouttas, Méta Kenich,et Michael Felberbaum.
Je vous aime!
L’idée et l’esprit de partage sont à l’initiative et dans l’âme de ce projet. C’est aussi la raison pour laquelle, il nous a semblé adéquat d’utiliser le crowdfunding comme une aide pour soutenir la fin de la production.
Mémoires brodées est un projet de recherche et une production, sur lesquels nous travaillons depuis 20 mois. Nous avons réalisé plusieurs prototypes. Aujourd’hui, les matériaux ont été achetés sur mes deniers propres. Tous les participants ont travaillé bénévolement et donné de leur temps par conviction. Aidez-nous à le mener jusqu’au bout!

La collecte servira à :
Payer les artisans afin de terminer la production et couvrir une partie de leurs frais de collaboration au projet (sans compter leurs heures réelles de réflexion et de travail sur le projet) :2400€
Couvrir une partie de la dépense de matériel : 1100 €
La broderie achetée au Moyen Orient ;
Les objets et mobiliers achetées en France (autres que les pièces de récupération trouvées)
Les nouveaux matériaux (bois, métal, détails variables).
Un total de 3500€ pour nous aider à compléter la recherche et la production !!!

Pourquoi contribuer ?
1.Nous nous connaissons bien, vous m’avez vu évoluer et vous comprenez le sens de ce projet
2.Vous êtes convaincu(e) que la promotion du travail artisanal est essentielle  et vous êtes fatigués du « made in China » ;
3.Vous adorez le travail artisanal et la création artistique ;
4.Vous partagez l’idée d’une société rimant avec diversité culturelle, et respect mutuel ;
5.Vous appréciez la démarche et vous croyez à l’esprit de partage et créativité collaborative ;
6.Vous partagez l’idée d’une production durable et éco-conçue;
7. Vous voyez l’avantage de partager la mémoire collective et mon projet vous parle.
Il y a un plein de raisons valables … j’espère que vous trouverez celle qui vous convient et je vous invite à soutenir le projet et à communiquer autour de ce projet auprès de vos amis, vos collègues, votre famille et à tous ceux à qui mon projet pourrait faire échos.
Lorsque le projet sera achevé, je prendrai contact avec vous et vous informerai de la suite… Une exposition itinérante, une édition ou autre…

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